08/03/2017 | Internet
Pour exister sur la toile, il faut créer des pages web. Il ne suffit pas uniquement de posséder un nom de domaine, il faut des pages que les robots d’indexations puissent visiter et classer dans les résultats de recherche. La question que se pose la majorité des webmasters, c’est, combien de pages doit-on créer pour un site web si l’on souhaite être bien référencé dans le SERP (Search Engine Results Pages) ?
Le nombre d’or existe-t-il ?
Quand on parle de référencement d’un site, il faut toujours partir du concept de mot-clé. Sur combien de termes souhaite-t-on se positionner ? Avant le lancement du filtre Panda en 2011, la création de pages se faisait en fonction du nombre de terme sur lequel on souhaitait positionner le site. Ce qui a fait qu’au lieu de créer une seule ou quelques pages chargées de tous les mots-clés, on préférait séparer les termes à optimiser grâce à la création de plusieurs pages au sein desquelles, on développait chaque expression ou phrase à référencer.
Une technique que Google Panda pénalise
Si créer des pages pour développer une expression clé semblait fonctionner, l’arrivée du filtre qualité Google Panda avait changé la donne. En effet, ce filtre avait mis à terre les sites qui proposaient plusieurs pages présentant du contenu similaire sur chaque page. La priorité de Google se tournait plus sur la qualité du contenu que sur sa quantité.
Si mon site contenait des pages de faible qualité ?
Les pages de faible qualité sont des pages qui n’apportent pas de la valeur ajoutée aux lecteurs. Au pire des cas, ces pages peuvent nuire à votre référencement naturel. Il faut donc sélectionner les pages qui donnent des informations utiles aux lecteurs et supprimer les pages qui ne le sont pas.
Par ailleurs, si la page de faible qualité apporte du trafic important, il serait judicieux de la modifier et d’en rajouter du contenu afin que celui-ci puisse gagner la confiance de Google.
Conclusion
Le nombre de pages magique pour un site web n’existe pas. On peut alors créer autant de pages qu’il le faut du moment que chacune d’elle apporte vraiment de la valeur ajoutée. N’oubliez pas l’adage : « Content is King ! »